Poinçon – Symbole – Trèfle à 4 feuilles

Poinçon Petit trèfle à 4 feuilles
Ancien pendentif ou porte-clef
Acier trempé
Circa 1910/30

25,00

Livraison sous 10 jours.

Vendu

Reconversion d’outillages tombés dans l’oubli en presses papiers décoratifs.
Arts déco, arts nouveaux, Marques, insignes, symboles, animaux, médailles, chasses… tout le monde trouvera son bonheur dans la diversité des thèmes.
A collectionner… à offrir…

Le trèfle à 4 feuilles
Selon une tradition chrétienne chaque feuille du trèfle, porté par Ève chassée de l’Éden et de forme rappelant la Croix, représente une des vertus théologales.
La première feuille est pour l’espérance, la seconde est pour la foi et la troisième est pour la charité ; la quatrième feuille serait donc pour la chance.
Selon une autre légende, la première apporterait la renommée, la deuxième la richesse, la troisième l’amour et la quatrième la santé.
Le trèfle quadrifolium a pu également symboliser dès le Moyen-Âge la vitalité (en raison de sa vigueur), la séparation, la renaissance : il orna ainsi les sépultures.
Selon la littérature courtoise, il est un gage d’amour.
Aux folioles ont été aussi associées l’espoir, la foi, l’amour et la chance, voire (plus tardivement, au xixe siècle ?) la richesse, la santé, le bonheur et l’amour, les britanniques voyant à la place du bonheur la renommée.
Il convient, pour les superstitieux, de conserver sur soi un brin dudit végétal, trouvé par hasard dans la nature, à la façon d’une amulette.
Le trèfle à quatre feuilles est aujourd’hui le signe distinctif des modèles sportifs de la marque automobile italienne Alfa Romeo.
Avant la Seconde Guerre mondiale, ce symbole figurait sur ses voitures de course. Le trèfle apparut sur les Alfa Romeo en 1923 quand Ugo Sivocci en offrit un aux pilotes de l’écurie avant le départ de la 14e Targa Florio pour leur porter chance.
Il devint ensuite le symbole des voitures « Alfa » préparées pour la course et aux performances améliorées.

Les collectionneurs de trèfles à quatre feuilles et plus sont des Ultratrifoliophiles, et ceux qui en trouvent des Quadrifoliistes.

En savoir plus….

L’estampage

L’estampage consiste à imprimer un relief par déformation sur une plaque de métal, généralement du cuivre ou du laiton mais aussi de l’argent ou de l’or.
Cette frappe en série est obtenue à l’aide d’imposantes presses appelés « moutons » ou par des presses à balancier sur lesquelles on vient monter une empreinte ou matrice.
Dans le quartier du Marais à Paris, on compta jusqu’a plus de cent ateliers d’estampeurs entre 1860 et 1930.
Les pièces variées étaient destinées à la bijouterie, l’ameublement, médailles, souvenirs, boutons, ornements de sacs ou de ceintures…

Poids 0,175 kg

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